top of page

De la tendresse pour nos bourreaux - suite

Sylvie: Suite à ton blog précédent, je comprends qu'on puisse avoir de la tendresse même pour nos bourreaux. Les Bill Gates, Rockefeller et autres "dirigeants’"de ce monde ont certainement leurs raisons d'agir comme ils le font, ayant vécu leur lot de traumas.


Là où je trouve que le bouchon est poussé trop loin, c'est de les laisser diffuser leurs mensonges à tout vents, ce qui perpétue les abus de pouvoir et maintient beaucoup de personnes dans leur syndrome de Stockholm… Autrement dit, je ne peux pas m'empêcher de croire qu'il est urgent de dévoiler leurs mensonges trop bien ficelés.


Didier: Pour reprendre cette conversation, cela bien sûr n’empêche en rien, par exemple l’activité qui semble appropriée, qui est la plus grande pente apparaissant en chaque point de vue.


Donc éventuellement la mise à jour de mensonges et de manipulations, vus depuis un angle particulier, mais qui sera toujours une vérité relative et jamais absolue. De voir cela amène beaucoup d’humilité et de compassion dans l’action, même si cette action peut parfois paraître “violente” ou radicale.


Cela pourrait ressembler métaphoriquement au sectionnement d’un membre gangrené. Bien qu’étant violente, cette action est d'une grande compassion pour l’organisme porteur.

 

En mon activité, la plus grande compassion serait de te jeter à la figure le fait que "toi, Sylvie, n’existe pas en tant que personne séparée et autonome". Cela pourrait bien sûr te sembler violent, alors j'y mets des formes. Mais sache que ce serait l'ultime compassion.

L'utilisation du contenu de ce site n'est pas soumis au copyright. 😃

bottom of page