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J'ai perdu mon papa

  • Photo du rédacteur: Didier
    Didier
  • 4 nov.
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 16 nov.

Sylvie: Je viens de perdre mon papa. J'avoue que je me sens un peu perdue, d'autant plus que je crois dans le fait que la mort n'est pas la fin et qu'elle fait partie de la vie.


Je peux sentir par moment comme il est présent dans mon cœur et dans le souffle du vent dans les branches, et en même temps, c'est une véritable épreuve de vie, un moment de douleur qui peut être transformateur car venant toucher quelque chose de l'ordre de la profondeur de l'être. Mais cela reste très difficile à accepter... Comment surfer cette vague initiatique et ne pas trop retomber dans le "bouillon Maya" ?


Didier: Voici quelques éléments de réponse, pas forcément celle que tu attendais...


  • Ne pas essayer d’éliminer Maya quand elle est en pleine action car cela ne ferait que l’amplifier et surtout la valider en tant que réalité à combattre.

  • Retourner à l'instruction donnée dans les avions :"En cas de dépressurisation, mettre son masque à oxygène avant d’aider les autres" (Ou par extension, avant même de consider "les autres".) Cette métaphore demande ici de résoudre le mystère de ta propre mort, avant de considérer celle des autres.

  • Plus largement, elle suggère de ne plus considérer la non dualité comme un moyen de résoudre ou de diminuer la souffrance, car cette perspective fait en permanence dérailler le potentiel mutateur de ce message.


Fais une pause. Reprends "L’exploration pour l’exploration" dans une période bien moins tourmentée et plus calme de ta vie. (Ce qui généralement ne motive plus alors à explorer quoi que ce soit. 😉)

 
 

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